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8 juin 2010 2 08 /06 /juin /2010 19:48

L’idée est venue de notre curiosité à propos de la Transjurassienne, épreuve de ski de fond reconnue qui nous tentait bien. Sur le site de Trans’Organisation, on remarque également qu’un trail existe sur le tracé mythique de cette traversée du Jura, dans la longueur !

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Allez, nous voilà inscrites, Pat sur la longueur complète (70km) et Elsa sur la moitié (34km), en compagnie de Rodolphe, SA moitié.

Pour être sures que Pat soit sur la ligne de départ à 5h30, nous réservons un dortoir dans le centre d’hébergement de Lamoura.

 

Nous nous y retrouvons le samedi, quasi synchronisés après un passage à Morez pour le retrait des dossards. Il est 19h00, le temps de poser nos sacs de sports sur les lits, et nous mettons les pieds sous la table de la cantine.


Couchés à l’heure des poules du Haut-Jura (mais pas des retraités en vacances !), nous passons une nuit agitée dans la perspective de l’effort du lendemain : un réveil à 2h40 pour Pat, départ de la course à 5h30, 70km et 2700 mètres de dénivelée+. Pour Elsa et Rodolphe, ce sera un départ de course à 10h00 pour 34km et 1350 mètres de dénivelée+.

 

 trail2010 affiche pm

Quand 70 + 34 font transcender les Mamans Brut de Fleurs !

 

3h00 : Bien peu de coureurs pour le petit dej tip top du centre. Un thé, un bol de céréale, un yaourt, un kiwi, un p’tit kawa… y’a plus ka…
3h30 : je m’installe dans la navette, que de monde ! 3 se suivent, toutes presque pleines ! Le MP3 sur les oreilles pour un réveil tonique mais les yeux fermés pour la concentration.
4h30 : arrivée à Mouthe. Tout doucement, tout le monde se réveille, s’ébroue, finalise sa tenue, les derniers dossards sont distribués, épinglés. J’assiste à une petite cérémonie à huis clos ou peu de têtes connues se présentent à moi.
5h30 : c’est un départ intime, confidentiel et presque religieux car beaucoup de foi et de ferveur animent les 320 concurrents. Il fait beau, il fait bon (13°) et 70 km nous attendent…
La première partie du parcours est plutôt roulante, des faux plats des mini bosses mais tout se court jusqu’à l’arrivée au pied du tremplin de Chaux Neuve, passage ludique et spectaculaire où hélàs l’ami (jeu de mot…) Jason n’est pas présent !
7h30 : je viens de passer le premier ravito de la Chapelle des Bois qui annonce la montée de la Roche Champion, environ 3 km qui nous font bien suer mais qui nous offre un magnifique point de vue au sommet.

 

9h00 : nous sommes déjà sur la place de l’hôtel de ville de Morez, au point de départ. Sous un tonnerre d’applaudissements passe le premier concurrent de l’épreuve de 70km, la cuisse légère et l’organisation au top : il tend sa ceinture-gourde vide et l’échange contre une nouvelle, pleine = 0 perte de temps !

 morez_mairie_1.jpg

9h30 : rencontre avec une thononaise qui a franchit le Léman pour tester un parcours plus long que son « allingeoise » habituelle de ce début juin (petite pensée pour ma maman qui a t erminé pour la seconde année consécutive, ce « petit » 18km chablaisien)

 

 

 

9h00 : me voilà à Bellefontaine, première barrière horaire sur laquelle je n’ai que 30 mn d’avance. Il m’aura fallu 1h30 pour parcourir les 9,5 km depuis la Chapelle et j’ai un premier coup de mou. Il faut repartir en faux plat montant sur goudron avant d’entrerdans un sous bois aux allures de montagnes russes. Quelques gouttes de pluie n’arrangent pas mon petit moral…
Morbier-2Après les Trois Commères, nous amorçons une grande descente technique puis plus roulante jusqu’à Morbier où je ne m’arrête pas malgré l’odeur alléchante du Comté et du Morbier ! Le cadre est bucolique et après une jolie grimpette en single en sous bois, me voilà perchée au dessus de Morez alors que les cloches de l’Eglise sonnent 10h annonçant par la même le départ du 34. Peut-être vais-je pouvoir récupérer les derniers !

 

10h00 :

départ au coup de fusil, un bisous « a tout à l’heure » et le voilà qui disparaît en se faufilant entre des dos de poches à eau. Où suis-je, que fais-je ? (dans quel état j’ère ce sera pour plus tard !!) C’est la première fois que je m’engage à courir aussi longtemps, et je n’ai gravit qu’occasionnellement autant de dénivelée dans la même journée. Mais voilà, ma gouroute de trail (Pat) sait transmettre son plaisir et depuis deux rando itinérantes, j’adore le Jura !

Pour ne pas avoir le vertige de l’épreuve, je décide de prendre chaque étape, l’une après l’autre.

Je sais qu’une montée nous attend, dès le début. Elle nous mènera aux Rousses, en passant par un sous-bois, le lycée d’optique de Morez (une centaine de marches d’escalier : faut être motivés pour aller en cours !) et une belle colline jurassienne.

1h30 de montée pour moi, 2h pour arriver aux Rousses.plan_rousses.jpg


10h50 : terrible et interminable cette portion jusqu’à Morez ! Dire qu’il n’y avait qu’à piquer tout droit pour y arriver ! Mais quelques tours de manèges c’est plus drôle assurément (pour l’orga seulement !!!!). 2 murs dont un digne d’escalade avant d’accéder à ces verres de coca tant convoités ! Je prends une dizaine de minute et repartir est un calvaire… Je suis déjà cuite et j’ai encore 31 km à parcourir… Mais la tête veut aujourd’hui aller au delà, au bout de ce défi et prendre une revanche sur le Nivolet. Pas de questions à se poser ni d’hésitations.
Le soleil m’accompagne pour cette longue ascension, difficulté majeure du parcours, de près de 5 km, en sous bois. Je reprend du poil de la bête et avance sûrement. Au sommet au Gros Crête, la vue est superbe, dommage qu’il y ai tous ces cailloux qui m’obligent à regarder où je mets les pieds ! Mais je ne pense qu’aux Rousses où je pourrais à nouveau boire frais…


J’ai ensuite le repère du ravitaillement solide, situé dans le joli village de Prémanon. J’entends derrière moi, dans le peloton, un homme conseiller à son auditrice du moment de monter le rythme si elle se sent bien à Prémanon, puisqu’il ne reste que 10km avant l’arrivée. Cette perspective me réjouit à l’approche du village, car cela fait un bon quart d’heure que la douleur a commencé son ascension dans mes mollets et cuisses.

 


13h30 : Les Rousses, du thé frais et direction Prémanon pour le coca ! Voilà les leitmotiv qui me font désormais avancer. Il fait chaud et humide, le vent est tiède et les jambes ne sont plus que les marionnettes de mon cerveau.
La deuxième longue bosse de la 2ème moitié est amorcée avec sa dernière barrière horaire à Prémanon à 15h30 soit 10 heures de course.

 village_premanon2_02.jpg

14h00 : Voilà Prémanon, je reconnais ses chalets. Entre deux quartiers d’orange, je m’enquiers quand même du kilométrage restant, une intuition ? La GB (Gentille Bénévole biensûr, il n’y a pas encore de ravitaillement alcoolisé sur les stands !) m’indique pleine d’enthousiasme que j’ai atteint la moitié du parcours ! Pour moi c’est un coup de bambou ! Il reste 17km ! Je m’assois 5mn. J’ai mal regardé mon itinéraire, mais je sais quand même que la 2e partie est « plus roulante ». Cela me permet de repartir. Mes jambes sont comme figées après cet arrêt. Je vais marcher quelques temps. Mais le terrain est plat, alors je tente une relance de la machine, je ne peux quand même pas marcher jusqu’au bout ! Et miracle, çà repart avec moins de douleur que ce que je craignais.

 

Nouvel objectif : le dernier ravito en eau. Mon émission de radio préférée podcastée dans les oreilles (oui oui c’est bien vrai, j’ai écouté des gens parler pendant 3 heures !), je me mets en mode pilote automatique. Mes jambes déroulent, les kilomètres s’enchaînent alors que le soleil donne et que le sel croûte mon visage.

 

14h34 : me voilà à Prémanon à vider les bouteilles de Pepsi. J’ai une petite heure d’avance sur la barrière horaire, j’ai déjà vaincu ça ! J’ai également dépassé mon temps de course jamais atteint, ma seule obsession est maintenant d’en finir. 16 km restent à parcourir avec encore de la grimpette. Bonne surprise, elle n’est pas si rude et plutôt roulante. Courir, courir, courir tant que le terrain me le permet, mon cerveau ordonne à mes jambes de la faire sous peine de représailles sévères, il est dans le même état d’esprit que ce ciel noir qui gronde pas si loin… Pourvu que j’arrive avant ! Un bénévole me fait bifurquer à 90° m’indiquant que je part à l’opposé et que je devrais y échapper !

 

16h30 : J’arrive à ce dernier ravito. Un verre d’eau, ou plutôt un demi, j’ai la tremblotte, et je repars. Je ne pense maintenant plus qu’à finir, il reste 7km. L’idée de passer la ligne me fait monter un sanglot, je peux donc y arriver ? Je suis à fleur de peau.


Une jolie bosse encore qui me fait croire que c’est l’avant dernière du profil mais ça ne colle pas avec le kilométrage indiqué par mon GPS. J’arrive alors au tunnel du Boulu et sort ma petite carte plastifiée, ce nom me dit quelque chose… Les 2 dernières bosses arrivent… Un verre d'eau, la moitié passe à côté de ma bouche, j'ai également la tremblotte...


La parcours est toujours plat jusqu’au dernier mur ! Comment peuvent-ils nous faire çà : une véritable piste de ski alpin (au moins une rouge !) à gravir en ligne droite ! Un géant s’agenouille juste devant moi, à mi-montée, je balbutie un encouragement.

Le plat revient. Une prairie, j’aperçois un coureur immobile sur le bord du chemin. Ah non, il bouge, me fait un signe ? Rodolphe ! Il a fait demi-tour après la ligne d’arrivée, et m’accompagne sur le dernier kilomètre. Je craque, mais trouve les ressources pour finir en sprint, 5h38 après le départ.


En guise de bosse, nous avons droit à une piste de ski drè dans le pentu. Je n’y arrive plus et je suis pourtant de tout mon poids sur mes bâtons. Comment ma Zazou s’en est-elle sorti sans ??? Allez, je m’accroche sous les encouragements du concurrent que j’avais embarqué peu avant. Quel magnifique solidarité le trail…
vache.jpgUn champ de vaches et me voilà nez à museau avec l’un d’elles, pattes avant fléchies, prête à bondir comme si j’allais l’attaquer ! T’inquiète ma grosse, je n’en ai pas la force ni celle d’ailleurs de changer de route !
Joli point de vue sur le lac avec l’arche d’arrivée… Elle est là tout prêt et pourtant si loin… 2 km encore, tout se melle et s’emmêle. La fatigue se manifeste par des nausées, près de 4 heures que je ne peux plus avaler de solide. C’est plat et je n’avance plus qu’en m’aidant des bâtons et en marchant. Heureusement une coureuse avec qui j’ai fait le yoyo me rattrape et hop un nouveau petit coup d’entraide qui va bieng. Elle me fait repartir en courant et prétextant que la pluie qui vient de commencer va nous refroidir sinon !
Pas de dernier mur finalement, quelle joie de voir plutôt un dernier passage rendu très glissant par la pluie et cette arche à portée de bâtons. L’émotion me prend à la gorge, je suffoque, je vais passer la ligne d’arrivée, j’y suis arrivée.
Je me retrouve en position de prosternation, après 11h35 d'effort l’émotion me submerge à chaudes larmes, le speaker me félicite et s’inquiète de savoir si tout va bien.

 


Le bilan : après une course comme celle-là, une inédite pour moi, j’ai l’impression de mieux me connaître. Au-delà du report de mes limites sportives, c’est une nouvelle illustration des possibilités d’adaptation sur lesquelles on peut compter, chacun à son niveau, quand on décide d’atteindre des objectifs aussi fous qu’enthousiasmants !

Note pour plus tard : le trail c’est comme la rando, mais en plus rapide, alors n’hésites plus à prendre tes bâtons !

 

Tout va très bien SGO (Supers Gentils Organisateurs) ! Vous nous avez offert un parcours somptueux qui n’a d’égal que la qualité de votre organisation et votre bienveillance.
Si mes jambes et ma tête n’en était guère convaincues dimanche soir, mon cœur lui vous est tout acquis !
Note pour toujours : le trail au long court, c'est avant tout une aventure humaine et surhumaine, ensemble et pourtant seul face à soi. Une des meilleures façons de se connaître au plus profond de ses tripes et d'appréhender les Autres, dans ce qu'ils donnent de meillleur.

 

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Tous les résultats sur le site de la Transju'Trail.


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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 12:21

Tous les derniers dimanche de Mai, c'est du côté de Saint Pierre de Bœuf que le petit monde de la rica-rhone st-pierre-dbbarque se donne rendez-vous !

Cette Commune à l'extrémité sud-est du département de la Loire est située le long du Rhône, au pied des contreforts du Massif du Pilat. Il y coule la plus longue rivière artificielle française, 700 mètres pour s'adonner aux sports d'eau vive 

: Les barques elles, s'affrontent juste à côté, en eau calme !

Divers-articles 0154Ainsi dimanche dernier, Marilyne et Virginia ont troqué le temps d'une journée leur coulisse en carbone composite d'aviron pour un banc fixe de barque : en bois !  Marilyne experte de la discipline depuis sa tendre enfance, a  « en-barqué » pour cette session 2
barque----.jpg010 des championnats de France de vitesse, Virginia : totalement novice en la matière.


L’épreuve de vitesse se déroule à deux, sur une distance de 500 mètres avec un virement de bouée à mi-parcours. L'épreuve est donc sprint et technique ! 

Voir aussi l'article publié en novembre  « la Barque : Kesako ? » !

 
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A l'issue de trois courses gagnées avec brio, nos deux "barquettes" sont sacrées championne de France de vitesse, sous l’œil curieux d’Elza, spectatrice  et supportrice Brut De Fleur n°1 de la journée!

 


 

Marilyne associée à sa sœur a déjà remporté le 2 Mai dernier l'épreuve les championnats de france de Navigations Marinières à l'harpie. 

 

MLG1Les soeurettes sur la première marche !

 

 La troisième et dernière épreuve en championnats de France, avant de décerner les maillots tricolores, est celle de grand fond, elle se déroulera le 11 novembre prochain au cœur de Lyon. : Affaires à suivre donc !

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2 juin 2010 3 02 /06 /juin /2010 07:06

Ruban Bleu

Ce dimanche 30 mai, c’était aussi la fête des MERS !

 

Elsa P a participé au Ruban Bleu, course d’aviron qui porte le défi de la traversée du Léman entre Lausanne et Thonon les Bains (18km), à réaliser en 4 de couple de mer.

 

« Cette course est en réalité un défi : il faut battre le record établi par le meilleur équipage de la catégorie dans laquelle on s’engage, homme, femme ou mixte. Pour cette deuxième édition de la course, le challenge était rude car les records établis l’an passé l’ont été dans des conditions quasi parfaites de lac calme et de ciel bleu. Le record homme est donc de 1h18, celui des mixtes de 1h27 et celui des femmes de 1h25.

Les concurrentes qui l’avaient établi en 2009 se remettaient d’ailleurs brillamment en course cette année, dans un équipage quasi identique. C’est le bateau du Lausanne Sport Aviron, champion du monde d’aviron de mer en 2008 et vice-champion en 2009.

De mon côté, pour m’y frotter, j’ai embarqué avec un équipage féminin « régional » : Sabine de Grenoble, Isabelle de Lausanne et Eve d’Yverdon. Nous n’avions jamais ramé ensemble, mais étions motivées pour la découverte de cette traversée, et cette force nous a été bien utile pour affronter les conditions maritimes de cette expédition !!

  4x SF

Nous avons rendez vous à 7h15 au club de Thonon pour la traversée en bateau moteur, en tractant nos embarcations à rame. Le temps est gris, un vent de sud-ouest souffle fort et les vagues moutonnent. Le temps de traversée est long, même à bord de ces bateaux de sauvetage surpuissants, qui assureront le suivi de la course. Plus nous avançons vers la mi-lac, plus les vagues se creusent. En discutant avec les autres équipages (7 en tout : 2 bateaux homme de Thonon, 1 de Sévrier, 1 de Rennes, 1 de Paluden, et l’autre équipage féminin de Lausanne), une évidence s’impose : il n’y aura pas de nouveau record en 2010 !

sauvetage

Une fois arrivés à Lausanne, l’équipe organisatrice joint les services météo pour confirmer le départ de la course : les difficultés d’acheminement des coques et le renversement de plusieurs les poussent à prendre le maximum de précautions. Annuler, ce serait frustrer de nombreux rameurs qui rêvent d’en découdre, mais le Léman, véritable mer intérieure, ne permet aucune faille dans la sécurité, surtout aujourd’hui.

Avec quasiment 1 bateau suiveur par bateau en course, le départ est lancé. La vague est le vent sont contraires, ce ne sera pas une partie de plaisir, tout le monde est prévenu !

Après un bon départ, nous remontons sur notre mire, le bateau des lausannoises. Bon rythme est mené par notre nage, Sabine, avec les encouragements de Roger, notre barreur. Mais après 30mn de course, notre barre se déboîte : nous la pensons cassée, notre bateau suiveur nous propose le remorquage. Nous sommes encore assez fraîches et volontaires pour lui crier « Non » à l’unisson ! Seulement, il va falloir redresser nous même après chaque déferlante. Notre bateau roule sur chaque vague et nous redressons tant bien que mal. Après 2 heures de course, et toujours dans le couloir de vent, chaque équipière accuse le coup. Mais personne ne craque, et il y a toujours quelqu’un pour relancer. Nous nous rapprochons des côtes françaises entre Evian et Thonon : rameuse au club de cette deuxième ville, j’y ai tous mes repères kilométriques mais cette fois-ci, çà ne m’aide pas ! Le paysage défile au ralenti, le vent de puissance 4 à 5 ne faiblit pas, il nous aura contré jusqu’au bout.

 

4x SF (2)

Là, on allait s'en prendre une bonne!

Enfin, nous passons la pointe de Ripaille et arrivons à la piscine, ligne d’arrivée du défi. 3h00 après le départ, 1h30 après les premières arrivées projetées, il n’y a plus beaucoup de supporters sur les quais. Qu’à cela ne tienne, nous sommes satisfaites d’avoir terminé cette traversée, de ne pas avoir abandonné malgré l’avarie technique, et nous félicitons d’avoir été aussi solides et solidaires sur une première sortie en commun.

 

Une traversée à recommander à toutes les aventurières !

Et finalement, un temps très adéquat pour l’inauguration, ce même jour, de la base d’aviron côtier au club de Thonon. Pour ceux qui doutent encore de l’opportunité de cette pratique sur le Léman, je laisse l’appréciation des photos ! »

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1er équipage : Senior Hommes de Thonon en 1h50.

Les Lausannoises franchissent la ligne 7mn avant nous.

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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 19:04

Dimanche 2 mai se déroulait le très réputé Trail du Nivolet Revard, 3ème manche du Trail Tour National (un championnat de France de Trail pour faire simple !).

Cette course de 49 km et 2600 m de dénivelé positif n'a rien a envié à ses grandes soeurs savoyades ou haut-savoyardes de part le parcours technique et les paysages magnifiques qu'elle offre !

Petite déception donc pour cette édition 2010 car le beau temps n'était pas vraiment de la partie !

Malgré tout, pas moins de 700 coureurs ont pris le départ du grand parcours et autant le Malpassant (22 km et 950 m d+).

 

Les Brut de Fleurs étaient présentes avec Morgane sur le Malpassant et Patricia sur le Nivolet Revard.

 

Retours...

 

"Malpassant" le bien nommé ! Par Morgane
 
On est dimanche il est 6h mon réveil sonne! Ca y est c'est l'heure !
6h 30 l'équipe est au complet pour partir en direction de Voglans !
On peut compter dans la voiture Lionel et Aurelio mes amis de galère et Nat et Bis nos fidèles supportrices.
 

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Arrivés sur place à 7h 30 le temps de retrouvé Maman Brut de Fleurs qui est sur le départ pour les 49 kms. Un sourire, une bise, quelques mots et la voila qui s'élance pour affronter le pire.
On récupère nos dossards et partons nous préparer pour le départ. Température extérieure : pas beaucoup et temps : pluvieux ! Le rêve !!

 


Premiers a être beuzzés nous voila sur la ligne de départ. Je retrouve Christine avec plaisir , on se recroisera sur le parcours entre descentes et montés.
Le départ est donné, c'est parti pour 22Kms et 950mD+.

Première surprise pour moi qui pensais ne commencer la montée qu'au 5ème km, en fait on part tout de suite pour une longue côte. Après un peu de plat c'est parti pour l'ascension du sommet. 4 Kms pour faire 678mD+. Le tout sur un terrain très glissant. Certains passages ressemblaient plus pour moi a de la via ferrata qu'a de la course réellement.
Arrivée au sommet avec une magnifique vue sur le lac, je savais pou28804_1460035259757_1199685121_1348409_3761722_n.jpgrquoi j'étais là, c'était hors du commun. Les 30 min de course sur la crète on été pour moi le meilleur moment de ce périple. Puis commença le descente. Elle se fît à toute vitesse en utilisant les arbres pour tourner et m'arrêter entre deux glissades. L'adrénaline était au rendez-vous.  
Les 4 derniers kms se sont fait au mental. Je pense m’être grillée dans la descente car mes jambes ne répondaient plus !
Enfin l’arrivée je retrouve mes amis de galère !!!
Je pensais en avoir finit avec la galère mais en fait le pire était à venir !!! Quelques minutes après l’arrivée, survenue de lombalgie qui m’interdit la station debout. Il aura fallu 25 min de manip ostéo pour que je puisse aller mieux !!
 
En conclusion un dimanche avec du rire, des amis,  de la douleur, de l’effort , des paysages magnifiques, un ambiance très conviviale,  beaucoup de boue et une bonne tartiflette à l’arrivée !
 
Merci a l’organisation, a ceux qui m’on accompagné et a Maman BDF !!!!
 
Pour l’anecdote, le lendemain matin j’arrive en retard au boulot à 6h car j’ai mis beaucoup trop de temps pour descendre les 5  étages sans ascenseur qui sépare mon lit de la voiture !!

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Les échelles du Nivolet ! Par Maman BdF !

Même jour, même ambiance, un peu plus tôt, juste une partie inversée pour le passage dans le Malpassant pour les coureurs du Nivolet.

Puis on en rajoute un peu : faut grimper à la Croix du Nivolet pour ce grand parcours ! Alors à la bifurcation, on attaque le chemin du Croc qui nous amène sur le plateau. La grimpette est rude mais la verdure luxuriante et les singles superbes.

C'est lentement mais sûrement que j'arrive sans encombre et en dérapant quelque peu une première fois... Le début d'une longue série !

Après un premier passage aux Chalets du Sire nous allons chercher le pas des echelels de la Croix par des chemins rendus plus que boueux par les quelques 580 coureurs passés avant moi. Une vraie patinoire !

Les échelles sont un passage certes hyper ludique mais bien dangereux avec toute cette humidité et cette boue ! Heureusement que la vue est bouchée, au moins pas de vertige !

Au pied de la Croix, 4° seulement, limite pluie/neige, alors faut pas traîner ! Masi faut-il pouvoir avancer !

Beaucoup de cailloux rendus très glissants, terrain accidenté... Pas facile pour un pied plus campagnard que montagnard !

La descente à La Feclaz ne sera pas plus aisée : boue et neige mêlées ne me facilitent non seulement pas la tâche mais essaient de m'en faire le plus possible : je me vautre 4 fois d'affilé et ai beaucoup de mal à repartir d'un pas assuré.

Ayant eu le bonheur de faire le parcours l'an passé sous le soleil, je sais que la partie qui m'attend va être très compliquée. Ne me sentant pas à la hauteur, ni physiquement, ni psychologiquement d'encaisser encore moultes gamelles, je préfère ne pas risquer la blessure et de m'arrêter là, au 24ème kilomètre avec 1900 m de D+ dans les jambes et 4h50.

Sage décision s'il en est, la traversée du plateau était en effet difficile et j'aurai de toute évidence été mise hors course à la barrière horaire suivante.

 

Pour l'anecdote, le lendemain j'étais en pleine forme et sans aucune courbature ! j'ai donc pu enchaîner plein pot pour compenser cette course inachevée et préparer malgré tout sereinement le prochain objectif !

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Récit complet sur http://mamanpat.over-blog.com

 

 

Tous les résultats sur le site de la course.

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17 avril 2010 6 17 /04 /avril /2010 17:41

Toute l'actualité de l'Aviron dans le département du Rhône ? ! C'est le C.D.A.R. qui vous la communique !

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 Le Comité Départemental d'Aviron  du Rhône regroupe les 12 clubs d’aviron du Rhône.

Site Internet et lettre d’information permet de relayer les différents évènements, compétitions et informations notaires du département en matière d’aviron.

 

 

 

Un partenariat est en cours entre le C.A.D.R et  Brut de fleurs,  nous sommes ainsi à l’honneur dans la lettre d’info N°2 relayant notre aventure aux Pays Bas.

 

Newsletter CDAR n°2 BdF

 

 Pour recevoir la newsletter du C.D.A.R., inscrivez vous sur le site http://www.aviron-rhone.org/

 

 

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16 avril 2010 5 16 /04 /avril /2010 15:42

Brut de Fleurs se fait le relais et le témoin de cette belle histoire de sport ou la performance est parfois là ou on ne l’attend pas.

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A retrouver dans le progrès et sur TLM l’histoire d’Indrit, 38 ans, qui  avec son short en jean et basket  de récupération aux pieds à terminé à la 24 ème place du 40 km de Lyon Urban Trail.  (Avec en plus une erreur de parcourt à la bifurcation  au niveau de l’amphithéâtre). Un bel exemple de courage pour ce demandeur d’Asile albanais résident d’un foyer de sans abris, il à notamment passé l’hiver 2008-2009 dans la rue et commencer à courir «  tous les jours entre minuit et 4 heures du matin pour se réchauffer ».

 

 

 

 

Prochain challenge pour Indrit le Trail de Cotière à Beynoste et pourquoi pas la sainte Lyon de 2010.


D’ici là si certain d’entre vous souhaite se séparer de leurs paires de running dont vous ne vous servez plus (taille 43) Indrit est preneur car avec ses deux heures d’entrainement quotidien, les chaussures de récupes s’usent vite ! (contact@brutdefleurs.com ) Merci pour lui.

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2 avril 2010 5 02 /04 /avril /2010 12:47

Les fleurs voyagent, on le sait, en bouquet !    Mais pas seulement....

C’est ainsi qu’est venue l’idée de créer cette nouvelle rubrique : Carnet de Voyage ; où les fleurs se disséminent au grès du vent et des envies à travers le monde et vous embarquent dans leur valise !

 

Pour un baptême de brut en règle !Détour à Pondichéry en Inde avec Elsa ......et les éléphants !


 

Pondichéry, Ville du sud est de l’Inde  (En dessous de Madras), doit son intense activité portuaire à son activité de tissage du coton. Cette ville fut le siège indien de la Compagnie française des Indes orientales créée pacarte inder Colbert en 1654, avec Lorient pour port d'attache. La présence française prit fin en 1954. La ville garde de nombreuses traces de la colonie Francaise.

 

 

De son voyage en février, Elsa nous fait partager quelques clichés : Ambiance !

 

La maison de Satia où nous avons logé

 

 

 

 

 

 

 

La Maison de Satia où nous avons logé

 

 

 

 

 

 

Premier repas sur place, dont je n'ai pu manger que 20%...

 

1er repas sur place dont

je n'ai pu manger que 20%.. so spacy!

 

 

 

 

 

 

Sur la promenade de Pondichéry, les sahri rivalisent de co

 

 

 

 

Sur la Promenade de Pondichéry les Saris rivalisent de couleurs.

 

 

 

 

 

Ici meme pas peur le sahri en vélo se gère!

Loin d'amsterdam, ici aussi la ville se vie mieux en vélo

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Loin d'Amsterdam ici aussi la ville se vie mieux à vélo et même pas peur : Le sari en vélo se gère!

 

 

Tout est dans le regard !

 

 Tout est dans le regard !

 

 

 

 

Myssor le palais

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Palais de Myssor.

 

 

 

Il est possible de bloquer de longues minutes devant ces co

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il est possible de bloquer de longues minutes devant ces couleurs hypnotiques.

 

Belle rencontre, lui aussi se pare de fleurs !

Belle rencontre, lui aussi se pare de fleurs.

 

 

 

 

 

9-Ganeshs-pour-porter-bonheur-aux-brut-de-fleur-copie-1.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

9 Ganesh rapportés dans la valise pour porter bonheur aux bruts de fleur.

 

 

 

 

L'éléphant sacré

 

Dans l'hindouisme, Ganesh, connu aussi sous des noms tels que Ganapati, Ekadanta, Vinayaka, Heram ba, etc., c'est le dieu du foyer, représenté par un corps d'homme à tête d'éléphant, apporte  chance et prospérité. En Inde, il est partout : sur les murs des temples, des maisons, au-dessus des portes, au coeur des sanctuaires, dans les boutiques de souvenirs pour touristes, en cartes postales et même en posters. Il est impossible de ne pas le rencontrer. C'est un dieu bon qui, pour les superstitieux, peut tout autant  permettre la réalisation de tout projet que créer d'infranchissables obstacles pour celui qui le mésestimerait. Aucun dieu n'est plus proche des hommes.

 

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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 18:38

 Dimanche matin, changement d’horaire j’ai des frissons !

Pourtant  toutes les fleurs sont bien là et à l’heure dite, prêtes à en découdre avec les escaliers humides Lyonnais !   Retour d’aventure en questions- réponses, avec les filles sur le 12km, pour toutes une première expérience sur cette compétition, et  une récidiviste,  quoi presque, pour Patricia sur le 42 km (NRDL : l’année dernière elle était serre- file ; comment ça compte ?)

 

Les filles du 12 km :

Elsa P. BDF : Comment as tu préparé ta course ? Depuis ma reprise d’entraînement (en janvier,LUT-2010 6156 suite à accouchement), je me suis surtout concentrée sur l’aviron, pour préparer Amsterdam et des épreuves d’aviron de mer. Trop peu de kilomètres en course à pied pour faire un bon LUT ! Même malgré une bonne séance d’initiation aux marches avec Pat, pendant laquelle la couleur de mon visage s’est vite accordée à celle de notre gilet ! Mais le programme va s’inverser dans la perspective de la TransjuTrail. Pas de régime alimentaire spécial.Equipement : mizuno de trail (qui ne m’ont réellement servi que dans la SARRA), collant lycra, manche longue Odlo respirant et gilet sans manche BDF Sertao.

BDF : Qu'est-ce qui t'as plus dans ce parcours ? J’ai aimé « découvrir Lyon autrement » même si, à pied, on a également rencontré des bouchons ! J’ai vu des coins de collines que je ne connaissais pas.J’ai aimé le soutien et les sourires des bénévoles.

BDF : Le re-feras tu l'année prochaine ? Oui, volontiers ! Reste à savoir sur quelle distance…  En tout cas, je crois avoir convaincu mon homme de m’accompagner.

LUT-2010 0013

Morgane.   BDF : Comment as tu préparé ta course ? Pas de préparation spécifique pour cette course en ce qui me concerne. Ne sachant pas trop à quoi m'attendre, je voulais profiter d'une première expérience en dénivelé de manière a mieux préparer celles qui arrivent!

BDF : Qu'est-ce qui t'as plus dans ce parcours ? J'ai beaucoup aimé courir en ville, certains endroits ne seront pour moi plus jamais comme avant. J'ai adoré partir en groupe dans cette émulation. L’ambiance, l'organisation et le cadre sont pour moi les trois points forts de ce trail!! 

BDF : Le re-feras tu l'année prochaine ?  Oui sûrement mais sur quelle distance c'est la grande question que je me pose!

LUT-2010 6135

Alexandra.   BDF : Comment as tu préparé ta course ? Depuis la Sainté Lyon je concède ne pas avoir refait du dénivelé (et au départ je n’aime vraiment pas cela !) de plus avec l’hiver qui c’est un peu éternisé et une douleur au genou chronique, j’avoue avoir eu un peu de difficultés motivationnelles à enfiler aussi souvent que nécessaire mes baskets ! Bref j’ai pris le départ sans réel objectif, si ce n’est prendre part à un trail des plus original  et dont j’ai beaucoup entendu parler!

BDF : Qu'est-ce qui t'as plus dans ce parcours ? Les vues, les découvertes inédites d’une ville que l’on croit connaître. Le fait de voir des japonaises et des norvégiennes franchir la ligne d’arrivé (c’est vrai que c’est une sympathique façon de faire du tourisme !) et l’organisation impeccable, même si je n’ai pas tout compris dans leur décompte kilométrique …

BDF : Le re-feras tu l'année prochaine ? Je pense, car cela à un coté indéniablement pratique de courir à quelques kilomètres de chez soi ! Pour la distance, même si j’ai un peu de mal avec les escaliers, avec une préparation spécifique,  j’aimerais tester plus long !

 

Carole. BDF : Comment as tu préparé ta course ? Aucune préparation spécifique. Mais les randonnées en montagne et le ski de rando en février m'ont permis de bien appréhender le dénivelé!!
Côté alimentaire, les traditionnelles pâtes la veille de course. Equipement de la Team. On peut se repèrer de loin entre filles Brut de Fleurs !!LUT-2010 6149


BDF : Qu'est-ce qui t'as plus dans ce parcours ?  L'évènement fut très bien organisé, très bonne ambiance, avec de nombreux participants de tous âges. Le parcours était loin d'être évident (avec le changement continuel de rythmes entre les montées/descentes) mais en même temps j'ai été vraiment heureuse de découvrir ce type d'épreuve. Je me savais assez à l'aise en montée mais mon point faible reste la descente. Souvenir aussi à un instant de la course, en hauteur,  d'une magnifique vue de Lyon!! Whaou!!

BDF : Le re-feras tu l'année prochaine ?  OUI mais sans la sensation des jambes en bois le lendemain s'il vous plait ;-)

 

Elsa C. BDF : Comment as tu préparé ta course ?  3 footing d'une heure par semaine (malheureusement pour moi pour cette épreuve, uniquement sur du plat), avec simplement une préparation repas Pâtes la veille au soir pour cette course de 12K. Equipée des baskets habituels, bas et hauts longs.
 
LUT-2010-6208.JPGBDF : Qu'est-ce qui t'as plus dans ce parcours ?  Le fait encore une fois de partir nombreux est très entrainant, c'est ce qui me plait dans ce que je découvre des trails. La possibilité aussi de découvrir des endroits de la ville que je ne connaissais pas est agréable, malgré la douleur de l'effort. Sachant que je ne cour que sur du plat, j'ai bien sentie que pour le moment je n'étais pas faite pour les montées et marches ascendantes. En revanche je me suis fait plaisir sur les descentes et marches descendantes!
Le seul point moins sympa du parcourt a été le manque de balisage, seuls les 2 derniers kilomètres étaient donnés, et quand on connait mal la ville on a vraiment aucune idée de ce qu'il nous reste a courir.

BDF : Le re-feras tu l'année prochaine ?  Oui, ca me dirait de le refaire l'an prochain, cette fois en reprenant un peu à l'avance l'habitude de courir le matin. Et surtout en suivant mes collègues dès le début sans peur des douleurs !

 

Patricia sur le 42 km :

BDF : Comment as tu préparé ta course ? Je ne me suis absolument pas préparée ! Le SafeRedirect 002LUT marque pour moi le début de mon plan d’entrainement pour la Transju’Trail (6 juin) avec le Nivolet Revard en point de passage (2 mai). J’ai fait une grosse coupure course à pied après la SaintéLyon et n’ai fait que 2 footing de 2 heures depuis niveau distance et 3 séances escaliers à l’approche tout de même pour un peu de spécifique ! Le travail réalisé de décembre à mars pour préparer la régate Heineken m’aura permis de bien assumer l’engagement musculaire sollicité par les 6000 marches et 1600 m de dénivelé du parcours !


BDF : Qu'est-ce qui t'as plus dans ce parcours ?  
Moi qui ne suis pas une citadine dans l’âme, je trouve que la formule de cette course « hybride » est un excellent moyen de découvrir la ville autrement et surtout d’apprécier des « spécialités lyonnaises » autres que la gastronomie ! C’est aussi grâce à cette épreuve (3 participations en 3 éditions) que j’ai découvert le moyen de m’entrainer spécifiquement pour les trails en montagne LUT-2010 6233! Physiquement, après un coup de mou à l’approche du 20ème km, je me suis remise dedans en voyant que je pouvais atteindre les moins de 5 heures comme envisagé. Les jambes répondaient et j’ai pu aller chercher 5 féminines sur les 10 derniers km ! Les 5 derniers, les jambes étaient dures mais la tête en demandait encore !

Et puis l’état d’esprit et l’ambiance au sein du peloton des coureurs fait plaisir à partager !

J’ai adoré mon arrivée, certes parce que l’on traverse l’Hôtel de Ville mais surtout parce que mes Brut de Fleurs m’ont attendue ! Elles ont mis le feu dans l’aire d’arrivée - pas très discret pour ma piètre performance certes ! - mais niveau ambiance et enthousiasme, ça respire toujours la passion ! De quoi remercier EXTRA SPORTS dignement pour l’invitation du team !



BDF :Le re-feras tu l'année prochaine ?
EVIDEMMENT ! Le parcours est superbe, l’organisation au top (un grand merci à EXTRA SPORTS et à tous les bénévoles !) et puis on joue à domicile !


 

Le LUT, c’est EXTRA ! 


LUT-2010-0001.JPG

Mention spéciale à nos acolytes du jour Aurel et Lionel !


 

Côté résultats cela donne

 

 

Rg.

Equipers

Temps

Catégorie

ClCat

Sur le 12 Km

 

 

 

169

ALEXANDRA

01:15:08

SENIORS FEMME

9/165

212

CAROLE

01:17:50

SENIORS FEMME

13/165

276

  MORGANE

01:20:18

SENIORS FEMME

19/165

597

C.  ELZA

01:37:00

SENIORS FEMME

97/165

677

P. ELSA

01:42:32

SENIORS FEMME

126/165

Sur le 42 Km

 

 

 

346

 

PATRICIA

04:52:07

SENIORS FEMME

7

Pour les 42 km, plus d’info sur Mamanpat

 

 

 

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25 mars 2010 4 25 /03 /mars /2010 09:26
Dimanche 28 mars aura lieu la 3ème édition du Lyon Urban Trail.

Lyon Urban Trail se décale (encore un peu) au début du printemps pour vous offrir encore plus de liberté au cœur de la ville Lumière et des températures plus propices à l’effort en milieu urbain.
Toujours au départ de la somptueuse place de l’Hôtel de Ville, face au Palais des Beaux Arts, Lyon Urban Trail propose cette année 3 parcours : 40, 22 et 12 km (nouveauté) en formule chrono ou rando. Vous connaissez le principe : Lyon Urban Trail,  c’est ludique, touristique et technique, ça monte et ça descend en permanence au sein des quartiers les plus pittoresques de Lyon. Des parcours « cartes postales », offrant des points de vues à couper le souffle et une arrivée « séquence frisson » enchaînant l’Opéra, la traversée de la cour de l’Hôtel de Ville et l’escalier d’honneur débouchant sur la place des Terreaux.

Saison oblige, un plus grand soin sera apporté au confort des coureurs (espace vestiaire et récupération) et d’autres améliorations sont au programme.


logo-lyonurbantrail.gif

Comme l’indique son nom, avec le Lyon Urban Trail tout est dans l’antithèse : ni course sur route, ni course nature, mais un savant mélange de montées courtes et violentes (plus de 20 côtes au programme), d’escaliers interminables (plus de 6 000 marches), de descentes techniques (une ancienne piste de ski est même au programme), de pavés disjoints et de sentiers méconnus.

Courir le Lyon Urban Trail, c’est comme monter sur un manège enchanté qui vous fait découvrir le patrimoine historique d’une des plus belles villes d’Europe : amphithéâtre gallo-romain, traversée de l’Hôtel de Ville, traboules de la Renaissance et vous offre au détour d’une ruelle des panoramas grandioses sur le ville et sa région.


Tout est dit dans cette présentation fiate sur le site de la course !

Les Brut de Fleurs seront présentes et en force au départ de cette course printannière et viendront apporter une touche fleurie de circonstance sur 2 des 3 parcours proposés :
- sur le 12 km, nous retrouverons Alexandra (5ème de la SaintéLyon souvenez-vous !), Carole, Morgane, Elza et Elsa, le presque quatuor du relais de la SaintéLyon.
- sur le 40 km, Patricia se lancera corps et ame dans la course après avoir tenue le role de serre file sur l'édition 2009 !



Inscriptions possibles sur place samedi après-midi et dimanche matin.
Plus d'infos : http://www.lyonurbantrail.com



Et une grand merci à EXTRA SPORTS pour l'accueil réservé au team !
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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 12:54

Les rumeurs allaient bon train concernant the Ocean Thunder World Surf Rowing Championships 2010‏. Mais l'information officielle est tombée par mail jeudi dernier  :

Surf-Boat-Newquay-09_2883.jpg
"Please be advised that this event has been postponed for 2010. The reason for the event being postponed was the withdrawal of the sponsor in late January. The City of Biarritz have asked the organisers to pursue the event with a view to conducting it in 2011.  The organisers are in discussions with a sponsor for an event in 2011 and will keep all interested persons in contact with information but only when it is definite."

Veuillez noter que l’événement a été ajourné pour 2010. La raison de l’ajournement de la manifestation est le retrait du sponsor fin janvier. La Ville de Biarritz a demandé aux organisateurs de poursuivre l’événement dans la perspective de le reconduire en 2011. Les organisateurs sont en discussions avec un sponsor pour un événement en 2011 et tiendrons informées toutes les personnes intéressées mais seulement quand ceci sera définitif

 garland_logo-copie-2.png

Notre passions du Surfboat nous emmenera-t-elle jusqu'a Alexandrie ( Egypte) en octobre prochain pour prendre part au championnat du monde de sauvetage (Rescue 2010) ?!?...
Affaire à suivre 
( Le temps du rêve et des économies !)
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